Grado de dificultad: 3 (Por el idioma … Y porque se trata de tomar decisiones)
Columnista: Roberto
Un artículo en francés para saludar a un periódico francés que lucha para mantener su ética.
Le bazar de Twitter
Un égo demesuré
Au moment où le bazar de Twitter bat son plein, un article comme le suivant a son importance :
Rappelons les faits (d’une manière évidemment partiale …) :
Un type plein aux as et très imbu de lui-même avait (et a toujours) quelques millions de followers sur Twitter.
Un jour, l’un d’eux lui dit « Chiche ! Achète l’entreprise pour pouvoir dire ce que tu veux ».
Note, au passage : c’était déjà le cas, mais qui va s’arrêter à ce détail de l’histoire ?
Aussi simplement que cela, le « Crésus » achète Twitter.
Mon résumé des épisodes précédents est un raccourci, car l’histoire n’était pas si simple (sans être très compliquée non plus). Car il y a, à la clé, l’égo démesuré du monsieur.
Trolls, plus faciles à identifier qu’à ignorer
L’aspect principal que ne peut pas comprendre Mr M est justement celui dont parle l’article de NextInpact.
Ceux qui ont osé commenter un article, une vidéo ou un message savent de quoi et de qui il s’agit.
Nous les appelons les Trolls, et ils sont faciles à identifier (sinon à ignorer). Ce sont ceux qui arrivent avec des commentaires hors sujet mais pleins d’assurance.
De préférence, les commentaires seront offensifs, car c’est ainsi qu’on obtient les meilleures réactions.
L’origine de ce comportement est ancienne (bien avant Internet) et clairement malhonnête. Le but est de dévier l’attention d’une discussion pour en bénéficier indûment.
Cette tactique a été popularisée par les réseaux sociaux parce que très efficace pour la visibilité des pubs.
La chasse aux Trolls, un sport difficile
NextInpact : dur de modérer
La conclusion de l’article de NextInpact (et de ses commentaires, tout aussi intéressants) est qu’il est difficile d’échapper aux Trolls.
C’est encore plus difficile pour ceux dont la réputation repose sur des mensonges. Mr M, comme tous les gens très riches, n’a pas d’amis, seulement des lèche-bottes qui cherchent un bénéfice.
Sur les réseaux sociaux, on les appelle « followers », ce qui n’est autre qu’un synonyme de Trolls.
Or les Trolls sont aussi ceux qui s’adonnent au phishing. Et c’est précisément grâce aux informations qu’ils obtiennent dans des discussions sur les réseaux sociaux qu’ils parviennent à nous cibler.
Nous avons tous nos Trolls, même si nous l’ignorons encore.
Le paradis bleu des escrocs
Twitter, le sujet du moment, n’a plus de modération ni de systèmes de protection des identifiants. Ceux qui réalisaient ces tâches primordiales ont été virés ou ont démissionné.
Ce réseau social est devenu un paradis pour les Trolls et autres escrocs. L’oiseau bleu n’est plus, il est grand temps de voler vers d’autres horizons.
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